La désillusion semble se pointée à deux ans seulement de pouvoir de Macky Sall. C’est en tout cas ce que laisse voir le président du parti Rewmi, Idrissa Seck. Invité d’Afrique Matin de RFI, l’ancien Premier ministre sous Wade finalement devenu son opposant n’a pas fait dans la dentelle.
«Les ruptures vertueuses qui avaient été promises n’ont pas été réalisées. Macky Sall est encore assis sur les conclusions des assises nationales et du rapport de la Commission nationale de Réforme des Institutions (CNRI)», a-t-il déclaré.
Le maire de Thiès de souligner : «nous avons combattu l’implication de la famille dans la sphère de l’Etat et de la politique, aujourd’hui c’est pire. C’est la famille, la belle famille, les amis. Vous avez le frère, l’oncle, le beau-frère, tous envahissent l’espace politique et du pouvoir». Selon lui, «les Sénégalais ont trouvé le concept «dynastie Faye-Sall» des noms de Macky Sall et son épouse». Idrissa Seck a estimé qu’apparemment, «il (Macky Sall) n’a tiré les leçons de 2012 qui ont fait partir Wade du pouvoir».
Il a fait savoir à notre consœur Bineta Diagne : «je suis le premier à être surpris qu’ayant été témoin de la virulence avec laquelle les sénégalais ont rejeté une telle approche, qu’il soit là en train de refaire la même chose en pire».
«Les ruptures vertueuses qui avaient été promises n’ont pas été réalisées. Macky Sall est encore assis sur les conclusions des assises nationales et du rapport de la Commission nationale de Réforme des Institutions (CNRI)», a-t-il déclaré.
Le maire de Thiès de souligner : «nous avons combattu l’implication de la famille dans la sphère de l’Etat et de la politique, aujourd’hui c’est pire. C’est la famille, la belle famille, les amis. Vous avez le frère, l’oncle, le beau-frère, tous envahissent l’espace politique et du pouvoir». Selon lui, «les Sénégalais ont trouvé le concept «dynastie Faye-Sall» des noms de Macky Sall et son épouse». Idrissa Seck a estimé qu’apparemment, «il (Macky Sall) n’a tiré les leçons de 2012 qui ont fait partir Wade du pouvoir».
Il a fait savoir à notre consœur Bineta Diagne : «je suis le premier à être surpris qu’ayant été témoin de la virulence avec laquelle les sénégalais ont rejeté une telle approche, qu’il soit là en train de refaire la même chose en pire».